18 janeiro 2006

Papa

A toi que le vent a emporté,
Les larmes qui ne tombèrent jamais.
A toi a qui mon coeur s'est fermé,
Je n' est pas su dire que je t' aimais.

Dans ton rêve de souffrance,
J' ai revu mon rêve d'enfance.
Oú est-tu, Roi de mon palais?
Dans mes forêts secrètes de France?

Papa, comme j' ai besoin de fermer mes yeux.
Papa, je vois toujours ton sourire d' enfant perdu!

Trois ans sont passés,
Le ruisseau transformé en courant.
Le silence ne sait plus parler,
Alors, je te parle en pleurant.

Papa, comme j' ai besoin de fermer mes yeux.
Papa, je vois toujours ton sourire d' enfant perdu!